UNE REFORME DE LA PHILATELIE
La charte de la philatélie n'a fait qu'entériner des faits qui étaient déja contraires à la plupart de toutes les envies politiques dignes de ce nom et légitimer une politique commerciale éhontée que tous, partculiers et presse spécialisée critiquent depuis déja bien longtemps. Elle n'est donc qu'un coup d'épée dans l'eau avec peu d'engagements vérifiables ou nouveaux. Rien de philatéliquement nouveau et rien en conséquences pratiques. Or, pour les attribus les plus caractéristiques du timbre, il aurait été bien de parler de sa matière, de la gomme... Une impression de mercantilisme ressort de cette charte, uniquement ! Il faut donc :
- Mettre fin à ces horribles vignettes L.I.S.A qui ne sont en rien des timbres.
- Se recentrer sur une philatélie de qualité basée sur la valorisation du patrimoine qu'il soit culturel, intellectuel, bâti ou gastronomique. Bien entendu, il faut dire au revoir à tous les bonjours, merci, c'est une fille, un garçon, joyeux noël et autre mascarades de ce type.
- Diminuer le nombre de blocs-feuillets ou de carnets qui sortent à l'année.
- Diminuer les quantités de tirage.
- Augmenter légèrement le nombre de sorties en timbres unitaires.
- Réellement privilégier la taille douce dans la plupart des timbres. (Au moins soixante-dix pour cent.) Et non pas s'en servir comme écran de fumée pour cacher une politique délirante d'émissions.
- N'autoriser la création d'une nouvelle Marianne qu'une fois par mandat.
- N'autoriser son augmentation que deux fois en début et en moitié de mandat présidentiel.
Lucius Liber, Frexit
